Nécessité d’établir la robustesse du WFS pour répondre aux obligations des applications
Grâce à l’indispensable Revue de presse de Géotribu (celle du 9 juillet, en l’occurrence), je peux partager avec vous cet article en italien (deux alinéas mais les nombreux schémas sont en anglais) qui compare les performances WFS de différents moteurs (ArcGIS Server, GeoServer et Mapserver,). Lire en même temps le commentaire de Daniel Morissette (sur Géotribu) qui met en perspective les résultats entre les deux derniers cités.
En effet, vous savez que, depuis le 28 juin dernier, toutes les données disposant de métadonnées doivent être téléchargeables. Et, après étude, la Mission de l’information géographique (qui m’emploie et finance le contenu de ce blog) recommande le WFS.
Surtout, cet article italien est basé sur un travail de Master de l’université de l’Oregon que je trouve encore plus intéressant puisqu’il est orienté « usages » plutôt qu’outils (qui ne m’ont jamais passionné, sauf peut-être la clé de 14, mais c’est une autre histoire). Son titre est « Assessing the Robustness of Web Feature Services Necessary to Satisfy the Requirements of Coastal Management Applications », c’est-à-dire « Nécessité d’établir la robustesse du WFS pour répondre aux obligations des applications de gestion côtières ».
Oui, encore une référence en anglais, je sais. J’ai reçu, rarement, de bonnes études en français, mais jamais disponible en ligne. C’est dommage. Les diplômés francophones peuvent donc me faire passer l’adresse de leurs travaux relatifs aux infrastructures de données géographiques accessibles sur l’internet.
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