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Le blog

Lancement, en collaboration avec l’AFIGéO et SIG-la-Lettre, de l’annuaire des Géo-entreprises

Le communiqué commun :

L’AFIGéO, GeoRezo.net, et SIG-la-Lettre vous annoncent l’ouverture de l’annuaire français des « Géo-Entreprises »

Soyez les premiers à vous référencer !! …

  • Quelles sont les entreprises proposant des développements à façon dans le Bas-Rhin ?
  • Où acheter un GPS de topographie dans le Maine-et-Loire ?
  • Qui peut m’aider à rédiger un rapport annuel cartographique de mes activités dans le sud-ouest ?

Très prochainement, n’importe quel internaute pourra trouver rapidement la réponse à ces questions grâce à « L’annuaire des Géo-Entreprises« , service web référencé à l’adresse « http://www.geo-entreprises.fr« .

Egalement accessible depuis les sites de l’AFIGéO (www.afigeo.asso.fr), de SIG La Lettre (www.sig-la-lettre.com) et de GeoRezo (georezo.net), cet annuaire permet aux acteurs de l’information géographique de présenter leur entreprise et leurs activités par grandes catégories. Ainsi, éditeurs, constructeurs, sociétés de services, associations … pourront en quelques clics se faire connaitre de la communauté des géomaticiens.

L’AFIGéO, Association Française de l’Information Géographique, qui assure la promotion du secteur, a pris en charge le développement du site dont elle assure l’administration. Elle est relayée par SIG-la-Lettre, le mensuel de référence du domaine et par l’association GeoRezo, qui anime le forum le plus dynamique de la géomatique afin de multiplier les points d’entrée à l’information. Chacun des trois organismes, à son niveau, œuvre à une meilleure visibilité du secteur de l’information géographique et vise à faciliter les relations entre acteurs.

Même si chaque inscription est validée par l’un des trois organismes partenaires, les entreprises sont responsables des informations qu’elles publient, dans le respect de conditions normales d’utilisation et de publication et sans avoir à payer pour leur inscription. La présence de modérateurs assure cependant un minimum de contrôle sur la fiabilité des entreprises référencées.

Très cordialement,

AFIGéO, GeoRezo.net, SIG-la-Lettre

Comme quoi l’internet n’est pas si dématérialisé que ça

Bonjour,

Deuxième arrêt des serveurs la nuit dernière (20h – 24h) en deux jours, mais celui-ci était planifié pour réparer les dégâts électriques de dimanche. Les machines de Rebdus sont sur générateurs pour la journée et doivent rebasculer sur le réseau EDF ce soir 20 heures. Notre hébergeur se veut rassurant, mais il est possible qu’une nouvelle coupure intervienne de soir, avec un peu de chance elle sera courte. En espérant que Redbus calibre désormais correctement son réseau électrique. Pour la petite histoire, Redbus a des réserves de 50 000 litres de fuel pour faire tourner ses générateurs, comme quoi l’internet n’est pas si dématérialisé que ça.

Merci pour votre patience.

Panne chez Redbus, dimanche noir pour l’Internet français

Pour ceux qui ont été gênés hier par la panne de notre site (entre autres)

Panne chez Redbus, dimanche noir pour l’Internet français

Et aussi

Cordialement

Frédéric Pouget

Une extension pour Firefox pour vos recherches sur les forums de GeoRezo.net

Vous êtes à la fois un heureux utilisateur de GeoRezo.net et vous naviguez agréablement avec Firefox. Vous pouvez désormais lier ces deux plaisirs avec le moteur de recherche pour les forums de GeoRezo.net.

http://georezo.net/img/help/search_plugin.gif

Il s’agit d’une extension pour Firefox qui ajoutera au moteur de recherche un item pour rechercher sur GeoRezo.net. Suivre ce lien pour installer l’extension.

Deux nouveaux forums

Oups ! oublié d’ajouter les 2 nouveaux forums lancés la semaine dernière:

Oubli réparé smile

La géomatique, enquête de reconnaissance

SIG la lettre – octobre 2003

A travers l’enquête « métiers » menée avant l’été par le CNIG en collaboration avec Georezo et l’Afigeo et celle réalisée par Camille Jullien dans le cadre de sa maîtrise, deux visions de la géomatique s’expriment, parfois très différentes, parfois très proches. La première équipe analysait des descriptions de postes, tandis que la jeune géographe recensait des offres d’emploi. Comment les géomaticiens se voient-ils ? Comment sont-ils perçus par leurs futurs employeurs ? Ces deux enquêtes nous montrent l’émergence d’un domaine en quête de définition.

Deux approches complémentaires

L’enquête « métiers » lancée par le CNIG avec le bras armé du site Georezo et de l’Afigeo a été lancée afin d’alerter l’Agence Nationale Pour l’Emploi de la nécessité de créer une catégorie d’emploi/métier de « géomaticien » au moment où les codes ROME sont en cours de révision. Il s’agissait de tenter de cerner la profession, les postes occupés par ceux qui se disent « géomaticiens » pour ouvrir le débat du côté de l’ANPE. Un questionnaire a été élaboré par les 3 organismes (CNIG, Afigeo, Georezo) puis mis en ligne sur leurs sites respectifs. Plus de 1 000 réponses spontanées ont été renvoyées en trois semaines qu’il a fallu ensuite analyser.
Camille Jullien, étudiante de géographie à Paris I, s’est lancée dans l’analyse de plus de 400 offres d’emploi ciblées parus dans différents supports pendant l’année universitaire 2001 – 2002. Elle a soutenu son mémoire en juillet dernier sous le titre « La géomatique : analyse d’une discipline en quête de reconnaissance ».

Un métier jeune

L’enquête « métier », basée sur des réponses spontanées à un questionnaire mis en ligne sur plusieurs site, donne une image relativement jeune et surqualifiée de la profession. Près de 40 % des répondants ont moins de deux ans d’expérience et 67% ont un niveau d’études d’au moins 5 années après le Baccalauréat (essentiellement par le biais d’une formation universitaire de géographe). Pourtant, le salaire moyen reste modeste (entre 1 500 et 1 800 € par mois). L’étude des offres d’emploi présente quelques similitudes remarquables. Oui, la profession est jeune et près de 60 % des annonces demandent des débutants ou des gens ayant moins de deux ans d’expérience. Les type de contrats proposés jouent plutôt en faveur des offres d’emploi qui proposent plus de CDI (65 %) que ne semblent en occuper les géomaticiens (43 % dans les réponses à l’enquête métier).

Entre « géo » et « maticien »

La différence la plus importante concerne les qualifications demandées (annonces) et présentées (enquête métier). Les entreprises et organismes qui embauchent cherchent certes des jeunes, mais assez peu qualifiés : soit ils ne précisent pas ce point (26 % des annonces), soit ils demandent avant tout des techniciens au profil « Bac + 2 » (23 %), alors que ces derniers ne représentent que 7 % des réponses à l’enquête métier. Cette dichotomie se retrouve dans les compétences et domaines de formation. Si les formations de géomètres et de géomaticiens sont représentées dans les mêmes proportions dans les deux études (respectivement environ 10 % et 15 %), le profil informaticien domine nettement dans les annonces (25 % contre seulement 5 % dans l’enquête métier) alors que ce sont principalement des géographes qui sont en poste (38 %). Sommes-nous en train de former trop peu de techniciens ou ceux-ci ne fréquentent-ils que peu des sites comme Georezo, premier pourvoyeur de réponses à l’enquête métier ? Les géographes sont-ils capables d’acquérir les compétences informatiques nécessaires à la pratique de la géomatique ?

Un travail centré sur les bases de données

Hélène Mathian, du laboratoire Géographie-Cités du CNRS, qui a fait partie du jury de maîtrise de Céline Jullien a pris le temps de faire quelques analyses statistiques de co-occurrences sur l’enquête métier, qui affinent l’analyse des tâches quotidiennes des géomaticiens en poste. « Une activité se détache très nettement : dans 45 % des cas, elle consiste à développer et à mettre en place un SIG, ce qui correspond bien à la grande fréquence d’apparition des intitulés de poste de type « chef de projet SIG » ou « chargé de mission SIG » » remarque Hélène Mathian. La cartographie est également bien représentée (40 % des cas). Viennent ensuite deux regroupements d’activités : acquisition/intégration de données, gestion et administration de bases de données, conception et développement de bases de données. Ce groupe, représenté entre 25 et 30 % des cas, reprend bien les tâches liées aux bases de données géographiques. Le deuxième ensemble, un peu plus faiblement représenté (entre 20 et 25 % des cas) regroupe les activités amont et aval : numérisation, échange de données, statistiques.

Ces deux enquêtes mériteraient d’être analysées et commentées de façon plus exhaustive car elles permettent de mieux cerner un ensemble professionnel encore flou. L’ANPE a reçu les résultats de l’enquête métier et semble convaincue de la nécessité de créer une fiche emploi/métier « qui agrègera les différents métiers qui produisent, traitent… de l’information géographique. […] Elle pourrait s’intituler « technicien de l’information géographique » et sera développée en 2004″ indiquait Philippe Fouquet de l’ANPE dans un message électronique à Afigeo. Par ailleurs, la création d’une nouvelle famille autour de « l’aménagement du territoire et l’environnement » pourrait également être mise à l’étude. De son côté, le CNFPT (Centre National de la Fonction Publique Territoriale) étudie la possibilité d’intégrer une option géomatique au concours de technicien territorial (elle n’existe que pour le concours d’ingénieur). Petit à petit, avec ses contradictions internes et ses zones d’ombre, la géomatique entre dans les mœurs.

Pour en savoir plus, le site de l’Afigeo ( www.afigeo.asso.fr ) propose plusieurs documents sur l’enquête métier (présentation, rapport d’étape). Hélène Mathian a également réalisé un poster pour le festival de la géographie de Saint-Dié.

Réconcilier formation et emploi en géomatique

SIG la Lettre – décembre 2005

Géomaticien, un mot bien commode pour désigner des métiers très différents, qui vont de la saisie de données à la gestion d’un véritable service dédié aux systèmes d’information spatiaux, mais qui concerne également la charmante personne qui vous guide pas à pas au téléphone dans la prise en main de votre nouveau logiciel SIG. Quoi de commun entre toutes ces professions et quelles formations sont les mieux adaptées ? Si la situation de l’emploi est hétérogène, celle de la formation l’est tout autant. Il semble cependant se dégager quelques tendances fortes : nous manquons de techniciens et nous formons trop de Bac + 5.

Un colloque pour en discuter

Quelles formations pour quels emplois ? Telle est la principale question que s’est posée la petite centaine de professionnels réunie à l’initiative du Conseil National de l’Information Géographique (CNIG) et de l’Association Française pour l’Information Géographique (Afigéo), le 1er décembre dernier dans les locaux de l’Ecole Nationale des sciences Géographiques (ENSG) de Marne-la-Vallée. Pour tenter d’y répondre, chaque intervenant a pris le temps de mener l’enquête, ce qui a donné beaucoup de corps à une réunion qui aurait pu se limiter à des déclarations de bonnes intentions.

Les métiers de l’information géographique

Le CNIG, l’Afigéo et l’association Georezo.net ont ainsi analysé les 1050 réponses issues de la nouvelle enquête métier, lancée en octobre dernier. Pendant un mois, ceux qui se reconnaissent sous le terme de géomaticien ont pris le temps de répondre à une quinzaine de questions ciblées. Les géomaticiens qui ont répondu sont jeunes, 60 % d’entre eux ont entre 25 et 35 ans. Ils sont en poste à 80 % (10 % cherchent un emploi, 10 % finissent leurs études) même si beaucoup aimeraient changer de travail. 46 % ont connu une période de chômage. Si les niveaux de salaire sont en légère hausse par rapport à la même enquête menée en 2003, les contrats à durée indéterminée sont plus rares et les stages plus nombreux. Ils travaillent principalement dans le secteur public (60 %) et ne bénéficient pas forcément d’une fiche de description précise de leur poste. Plus de la moitié des enquêtés passent plus de 75 % de leur temps devant leur SIG : saisie et structuration de données, cartographie, administration des bases… sont leur quotidien. Le Centre National de la Formation Publique Territoriale (CNFPT) des Pays de Loire a lui aussi réalisé une enquête qui lui a permis de définir 5 fiches métiers (responsable du service de l’information géographique, administrateur/gestionnaire des données géographique, technicien de l’information géographique, dessinateur/cartographe et géomètre/topographe).
Face à une situation de l’emploi qui se tend, la formation est-elle bien adaptée ?

« Une armée de généraux »…

Les 8 licences Pro en géomatique qu’a comparées Philippe Quodverte, bien que fort différentes les unes des autres, ne semblent pas avoir de mal à caser leurs étudiants. En est-il autant de la soixantaine de masters (Bac + 5) que Jean Denègre a répertorié sur le site Géoform (http://geoform.ensg.ign.fr), dédié à l’offre de formation en information géographique en français ? Impossible à dire, mais le risque semble grand de former « une armée de généraux » comme le craint Dominique Caillaud, président de l’Afigéo. De leur côté les écoles d’ingénieurs, tentent de s’unir pour mieux défendre et valoriser le secteur, et accueillir plus d’étudiants car « quand 4 écoles d’ingénieurs – ESTP, ENSG, ENGT, ENSAM – forment 150 ingénieurs par an, le phasage est nécessaire » remarque Michel Kasser, directeur de l’ENSG.

… ou de moutons à 5 pattes

Que recherchent les employeurs ? Le mouton à 5 pattes, évidemment : une solide formation thématique, une bonne formation technique, un sens de la conviction pour asseoir le projet SIG du service, de l’entreprise ou de la collectivité, des dons de vendeur … pour pas cher ! Derrière cette caricature se cache cependant un profil idéal pour lequel la « double compétence est essentielle » comme le remarque en conclusion François Salgé, secrétaire général du CNIG. La mission de géomaticien est en effet à la fois technique (gérer ou participer à un processus technique informatique), géographique (il s’agit de répondre à des questions géographiques) et, très souvent politique (quelle place dans l’organisation du territoire ?). Chacun de ces aspects doit être abordé dans les formations. De leur côté, les « médiateurs » travaillent à une meilleure reconnaissance de métiers, en les décrivant mieux (CNFPT, ANPE), et en en faisant la promotion. Grâce à des représentants convaincus et convaincants, la géomatique acquiert petit à petit sa place dans la société, même si les participants se désolent toujours du manque de reconnaissance au plus haut niveau. Sur ces points, l’Afigéo semble bien décidé à mener bataille : l’association annonce les premières assises nationales des géomaticiens le 16 mai prochain, en ouverture de Géo-Evénement 2006.

Mise au norme des flux RSS 2.0

Mise au norme des flux RSS 2.0 avec l’ajout du paramètre optionnel ‘GUID’
Il est possible que cela entraine un changement au niveau des logiciels de lecture de flux. Si vous constatez des problèmes, merci nous le signaler.

La minute GeoRezo

Ouverture du forum d’information interne « La minute GeoRezo« .

Site GeoRezo.net

Réseau Télédétection (Agence Universitaire de la Francophonie) – novembre 2005

Le portail Géomatique GeoRezo a totalement refondu son interface. Les forums couvrent tout le domaine de l’analyse géographique spatiale : Géomatique, commercial (Géopromo, Appel d’offre), logiciel (ESRI, GeoConcept, Mapinfo), thématique (Géomarketing, Télédétection, Webmapping), locaux (Ouest géomatique, SIG Québec) et emploi. Notre forum préféré est naturellement le forum télédétection. L’abonnement est possible pour un forum dans sa totalité ou être restreint à une ou plusieurs discussions.
D’autres services sont offerts par GeoRezo, une « newsletter », un agenda des événements en géomatique/télédétection, un annuaire de sites Internet …
Abonnez-vous à GeoRezo.net. Attention, les anciens abonnés à la liste GeoRezo doivent se réabonner. Pour en savoir plus : http://georezo.net

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Même si chaque inscription est validée par l’un des trois organismes partenaires, les entreprises sont responsables des informations qu’elles publient, dans le respect de conditions normales d’utilisation et de publication et sans avoir à payer pour leur inscription. La présence de modérateurs assure cependant un minimum de contrôle sur la fiabilité des entreprises référencées.

Très cordialement,

AFIGéO, GeoRezo.net, SIG-la-Lettre


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Bonjour,

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