La complexité de la gestion du territoire, urbain, voire péri- urbain, impose de plus en plus l’usage concerté de données d’origines variées. Les villes virtuelles se retrouvent à l’interface de plusieurs mondes qui n’étaient pas connectés. La gestion des bâtiments a été dans un premier temps assurée à l’aide de logiciels souvent issus de la CAO comme les suites Autodesk ou Bentley. Les données CAO comprenaient des modèles détaillés de bâtiments et des modèles liés à l’environnement (mobilier urbain,…). La mise en place d’une description du bâtiment et de son environnement, donnant naissance aux BIM [BIM] répond aux besoins de gestion de celui-ci. Les données BIM contiennent des informations sur leur structure, l’utilisation et l’équipement de bâtiments ainsi que la modélisation de leur intérieur et extérieur. Continue reading »
La BIG Team vous donne rendez-vous à la rentrée pour vous faire découvrir de nouveaux articles sur l’Interopérabilité et la GéoInformation.
A noter dès à présent dans votre agenda : la 5ème journée de l’interopérablité aura lieu le 21 Novembre à la Grande Arche de la Défense.
Le thème choisi cette année : « Téléchargement, Partage, Service : Questions, Solutions, Avantages ».
Vous pouvez dès maintenant vous inscrire via le formulaire.
Le programme complet de cette journée sera publié prochainement.
Si vous ne partez pas en vacances : ne manquez pas l’université d’été de l’OGC sur le standard WFS.
Et sinon, un peu de lecture interopérable pour la plage…
Bon été !
La BIG Team
Le projet Plan4all est un des réseaux de bonnes pratiques soutenus par la commission européenne par un financement eContent+. Démarré en mai 2009 il s’achèvera en octobre 2011. Son objectif principal est l’harmonisation des données numériques des documents d’urbanisme en s’appuyant sur les meilleurs pratiques européennes dans les régions, les départements les municipalités et sur les résultats des recherches les plus récentes. Continue reading »
1. Introduction
Au moment où l’on reparle d’imposer l’utilisation du format EDIGEO pour l’échange de certains jeux de données géographiques, il nous a semblé opportun de présenter une série d’articles sur GML, format que tout le monde connait de nom mais qui est finalement peu utilisé malgré ses nombreuses qualités.
Ce premier article est consacré à la description générale de GML.
Un second article décrira de manière plus détaillée les capacités de validation offertes par GML.
Un troisième et dernier article sera consacré à une étude de cas : l’utilisation de GML par la Communauté Urbaine du Grand Lyon. Continue reading »
Le standard WMS de l’OGC est surement le plus connu des services défini par l’instance internationale à ce jour, ayant largement concouru à sa reconnaissance dans le monde de la géomatique et plus largement sur le Web pour visualiser une donnée geolocalisée. La directive européenne Inspire impose la mise en oeuvre d’un service de consultation par les autorités publiques pour accéder à l’affichage distant de données géographiques via Internet. Le choix du standard WMS était donc assez naturel pour répondre à cette exigence de la directive européenne. Même succès garanti ? Pas si sur…
Après avoir réalisé une fiche technique sur les standards WMS et CSW de l’OGC, le Forum Français de l’OGC s’attèle à démocratiser le standard WFS.
Un premier Draft de la fiche technique sur le WFS a été préparé par Hervé Caumont (ERDAS).
La fiche technique WFS a besoin de vous et nous comptons sur votre contribution :
- rédaction de contenu,
- proposition de sources,
- ajout d’une nouvelle rubrique.
Si vous souhaitez contribuer à la réalisation de cette fiche, merci de nous contacter par mail à l’adresse (nicolas.klein@star-apic.com) pour rejoindre la Task Force « Fiche technique WFS pour les nuls ».
Un appel à relecture (et derniers commentaires…) sera organisé début juillet.
Bonne journée,
Nicolas
A la question « L’innovation la plus révolutionnaire de ces dix dernières années ? », Louise Cox, présidente de l’Union internationale des architectes, a répondu :
«L’information sur les systèmes de gestion des bâtiments (BIM), soit une manière complète de coordonner les projets sur ordinateur que ce soit au niveau architectural, dessins d’ingénierie, quantités de matériel pour les projets et détails du programme. Ces documents peuvent ensuite être utilisés par les entrepreneurs pour éviter les erreurs et pallier le manque de coordination. Au final, cela améliore l’étape de documentation et permet de construire plus rapidement, en anticipant les phases de fabrication en usine au fur et à mesure que le projet sort de terre ». (article complet Batiactu) Continue reading »
Le projet GeoAPI a été lancé en 2003 suite aux discussions entre les projets libres GeoTools et OpenJump pour la réalisation d’interfaces de programmations communes entres différents projets. Cette initiative avait pour vocation de favoriser la réalisation de solutions techniques complexes basées sur des bibliothèques issues de différentes communautés de développeurs.
L’OGC, fondé en 1994, a pu apparaître initialement comme un cercle réservé à quelques experts et spécialistes anglophones concevant, rédigeant et testant au sein de groupes techniques (Standards Working Groups ) des spécifications permettant de développer l’interopérabilité géospatiale.
Ces dernières années, de nombreux groupes thématiques (Domain Working Group) ont été créés et permettent d’adresser des besoins spécifiques aux thématiques considérées en s’appuyant et si besoin étendant sous forme de profils les spécifications élaborées au sein des groupes techniques.
La forte croissance de l’OGC tant en nombre de membres qu’en centres d’intérêts et spécifications rédigées a conduit à la création de plusieurs comités (Committees) visant à renforcer la gouvernance et la cohérence de l’OGC, par exemple l’OGC Architecture Board (OAB) ou le Strategic Member Advisory Committee (SMAC).
Le dernier-né de ces comités est le Business Value Committee (BVC) présidé par Marge Cole, US National Aeronautics and Space Administration (NASA).