Bonne question. Ce qui suit n’engage que moi, et je n’ai probablement pas tout compris. N’hésitez pas à intervenir pour préciser…
Selon moi, il y aura quelques dizaine de milliers de jeux de données en France. Pour les 27 Etats-Membres, disons un demi-million. Vous imaginez un portail point d’entrée pour tous ces lots?
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Cette conférence se tient, cette année, en même temps que la réunion mondiale GSDI (Global Spatial Data Infrastructure Association). F. Salgé, lors de sa présentation aux Rencontres SIG la Lettre, annonçait 10 français inscrits. A lire le (copieux) programme détaillé, je compte une présentation de F. Salgé pour l’Afigéo, celles de J.-J. Serrano (BRGM), de Marie-Louise Zambon (IGN) et de Dominique Laurent (IGN) en relation avec leur rôle éminent dans les groupes d’experts, deux de Didier Richard (IGN) sur la collaboration avec l’Espagne et sur l’API Géoportail, une d’Omar Boucelma (du Laboratoire des sciences de l’information et des systèmes) et une du Secrétariat général du CNIG (votre serviteur). C’est nettement mieux qu’à Maribor en 2008, où les seules interventions françaises étaient au titre des groupes d’experts.
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Tout le monde n’est pas d’accord à ce sujet. De mon point de vue, c’est un contre-sens, peut-être facilité par l’imprécision de la définition d’une IDG. Il y en a en effet plusieurs en lice, tout à fait convergentes mais avec des subtilités. Je pense que vous comprendrez qu’ici je prenne celle d’INSPIRE (Art.3-1) : des métadonnées, des séries de données géographiques et des services de données géographiques; des services et des technologies en réseau; des accords sur le partage, l’accès et l’utilisation; et des mécanismes, des processus et des procédures de coordination et de suivi établis, exploités ou mis à disposition conformément à la présente directive.
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Dans les séminaires et réseaux, de plus en plus de personnes maîtrisent une part grandissante de la directive. Je donne un coup de chapeau spécial à SIG L-R qui me paraît l’animation régionale la plus avancée (ce qui, malheureusement, réduit mes motifs d’aller à Montpellier!). Lire la suite »
Lors de leur groupe de travail du 26 février, de nombreuses questions ont été posées, dont la plupart ont déjà été traitées ici ou là . Il me semble donc utile de réunir ici ces questions les plus fréquentes.
Question posée par schummi.
INSPIRE, cela sert d’abord à répondre à ces constats européens (diapositive 3 de Découvrir INSPIRE):
Non. C’est une loi, tandis qu’une norme (n’)est (qu’)un accord sur un ensemble de règles, souvent techniques, validé par un groupe représentatif des meilleurs sur un sujet. La loi s’impose tandis qu’une norme est d’application volontaire (quoique les normes CEN soient également obligatoires, si j’ai bien compris…).
Outre l’importante différence sur la contrainte posée se trouve, quand même, celle sur l’élaboration des règles techniques. Les spécifications dans INSPIRE ne sont pas des constructions essentiellement à base de groupe d’experts. Au contraire, la volonté de la Commission européenne peut s’imposer contre leur avis (on l’a vu sur les métadonnées). Les Etats membres ont également leur avis. Il s’agit d’une construction politique.
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A l’occasion d’une récente présentation, j’ai mis à jour un jeu de diapositives qui fait le lien entre les trois grandes directives européennes qui nous intéressent professionnellement (Réutilisation des données publiques, INSPIRE et, pour une partie d’entre nous, Aarhus).
Cette présentation existait déjà sur Slideshare, c’est l’occasion de la lier avec le blog.
Découvrir INSPIRE
[slideshare id=1169526&doc=decouvririnspire190309-090319111854-phpapp01]
Fin des questions posées sur Géorezo. Je pense que la question « 4/ Est-ce que Inspire m’obligera à modifier la gestion de mes données (arborescence de tables, etc.) ? » a reçu sa réponse dans le billet du 2 mars. dans le cas contraire merci de préciser le point laissé dans l’obscurité.
Je m’aperçois avec le rouge de la honte au front que je n’ai pas encore donné la définition d’une donnée soumise à INSPIRE!
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Le BRGM a publié sous une forme très claire le calendrier officiel de mise en oeuvre. En pratique, pour le moment tout dérive un peu et nous assistons à deux pressions antagonistes : certains Etats membres souhaitent que l’on prenne le temps de réfléchir avant l’adoption des spécifications, même si cela entraîne un retard de quelques mois, tandis que de l’autre côté la Commission, fort logiquement, semble tentée de tenir les délais au mieux possible quitte à alléger certaines phases (comme la consultation du public). Il serait extrêmement risqué pourtant de miser sur un enlisement généralisé pour ne pas se préparer à temps! Lire la suite »
Il n’y a pas de différence entre créer des métadonnées pour un lot de données raster ou pour un lot vecteur. Par exemple, sur le Géocatalogue, en tapant simplement « SCAN25 » on voit qu’il y a trois fiches, mis en ligne par la DDE de Haute-Corse et la DDE de Haute-Loire.